J'ai peur de la diriger vers une 480 car :
- elle a à l'esprit la fiabilité de sa 740 GLE diesel qu'elle a vendue à contre-coeur il y a 10-12 ans (trop grande). Quoi qu'on en dise, je vois mal ma mamie de 76 ans devenir "dashboard hero" sur son parking, un matin d'hiver, en retard pour aller jouer au bridge...
- ancienne championne de karting inside


Du coup, déjà qu'elle arrive à se taper des pointes à 170 km/h (compteur, mais quand même...) dans son Astra mazoutée, imaginez dans une 480...
Du coup, j'ai repéré une 440 1.8 GLE CVT de 96 (c'est la dénomination donnée dans la petite annonce), moins basse, avec un coffre plus logeable et surtout des portes moins lourdes. Problème : c'est une CVT donnée pour une boîte mécanique. Or, je crois que CVT désignait la boîte auto sortie en 94, lors du restyling et de toute façon, Micheline ne veut pas de boîte auto (pour elle, c'est de l'ordre du sacrilège...).
J'aurai l'info d'ici quelques jours.
Mes questions sont donc :
- quid de la fiabilité des 440 ?
- conseillerez-vous en vos âme et conscience une Volvo 480 à votre grand-mère de 76 ans



J'attends vos avis ! Merci !

[un EDIT pour éviter de me faire arracher les yeux par ma grand-mère]
Pour les curieux qui auraient lu l'article, l'anecdote concernant Claude Brasseur est inexacte. Le "journaleux" qui a interviewé ma grand-mère en 88 a fait une confusion. Ce n'est pas Claude Brasseur qui n'a pas reconnu ma grand-mère, mais l'inverse. En fait, à la fin d'une course, c'est l'acteur, en tournage à quelques kilomètres, qui remet son trophée à ma grand-mère (une montre en or). Quinze jours plus tard, mes grands-parents sont à Alençon (Orne), de retour de mariage...

Ma grand-mère avait un peu mal aux cheveux et lui dit :
"Vous êtes qui, vous ?
- Bah, je suis Claude Brasseur ! Je vous ai remis votre trophée il y a quinze jours !"
Eclat de rire général !
Ah la la ! La vie dans les sixties ! Et le père qui a fait ses armes sur des Austin Mini qui montaient à 200... Pfff... Toujours les mêmes qui s'amusent...
L'anecdote est vraiment rocambolesque, car le premier propriétaire de la ES de mon père n'était autre que... Claude Brasseur himself
